A la suite de sa  thèse (Le travail subordonné entre droit privé et droit public, Dalloz, 2009), Nicolas FONT a mené principalement mes travaux sur la distinction entre le droit public et le droit privé, en particulier en matière de droit des relations de travail.  A partir de rédaction d’articles dans des revues juridiques et des ouvrages collectifs, ainsi que des interventions dans des colloques et des journées d’études, il a analysé des phénomènes d’interpénétrations des droits en interrogeant les concepts de privatisation, de publicisation et d’hybridation.

Parallèlement,  il s’est penché  aussi bien sur des sujets d’actualité – les algorithmes, la dématérialisation de la justice, le droit nucléaire, le non-recours aux soins, la qualité des soins et les changements climatiques  – que sur des sujets académiques classiques– la sécurité juridique, le régime de la preuve devant le juge administratif, l’effectivité de la justice administrative, la décentralisation.

Au sein du LARJE, Nicolas FONT mène une recherche sur les particularismes juridiques de la Nouvelle Calédonie en matière d’administration publique, en s’intéressant tout autant aux effets des évolutions (ou interrogations) institutionnelles dans le cadre du processus de sortie des accords de Nouméa qu’aux contours de ce droit administratif autonome calédonien.

2007 : Doctorat en droit public, Université Paul Cézanne – Aix-Marseille III.

Prix « Grands problèmes de droit contemporain » de l’Université Paul Cézanne – Aix-Marseille III.

Prix Dalloz.

2002: E.A. « Droit public, option collectivités territoriales », Université Aix-Marseille III.

2001: Maîtrise « Droit public », Université Aix-Marseille III.

Prix du Conseil général des Bouches du Rhône en droit des collectivités territoriales.

2000 : Licence en droit, Université Aix-Marseille III.

1999 : E.U.G de droit, Université Jean-Moulin Lyon III.

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